Monkey bread
Attention, ceci n’est pas une brioche cramée !
Il est important de le préciser parce que certain(e)s sont tentés de retirer la croûte, alors que c’est le meilleur, dans cette ‘brioche’, et pourtant je n’aime pas le pain (la brioche) trop cuit(e), du reste j’ai tendance à sous-cuire les pains (et les brioches,) (et les gâteaux,) (et si je finissais cette phrase pleine de parenthèses et de virgules ?). Ah voilà, c’est mieux comme ça.
Donc, ceci n’est pas une brioche cramée mais un monkey bread. Enfin, une sorte de monkey bread, parce que je n’ai pas suivi la recette à la lettre mais plutôt le principe : enrober de sucre des petits morceaux de pâte levée, arroser de beurre, et déguster.
En fait, je n’ai pas de recette à partager puisque je n’ai pesé ni le beurre ni le sucre…
Pour la pâte : - 450g de farine à peu près - 200ml de lait (ou plus, si la pâte a soif) - 1cc de sel (c’est la seule mesure précise !) - 1.5 sachet de levure de boulanger Pétrir longuement, la pâte doit être élastique et souple. Laisser lever tranquillement. Abaisser à hauteur d’un doigt et découper en carrés de 2cm x 2cm (ou plus, ou moins, c’est selon). |
Pour le croustillant pas cramé : - du sucre, à peu près tout ça - du beurre, pareil Verser le sucre (+ vanille ou cannelle ou rien) dans un bol, pour en enrober chaque carré de pâte. Déposer en vrac les carrés de pâte sucrés dans un moule beurré. C’est le bazar dans le moule, ce n’est pas grave. Résister à la tentation de ranger les carrés (trop facile pour moi, mais j’en connais qui auraient du mal). Rajouter une couche de sucre, puis recouvrir de beurre. La “recette” dit de le faire fondre ; j’ai juste recouvert de bon gros copeaux de beurre jusqu’à ne plus voir la pâte. Laisser doubler de volume, cuire 30 minutes à 180°C. |
Prévenir la famille que ce n’est pas une brioche cramée, et que la croûte, c’est le meilleur...